Noël approche
de Andréa Léonelli et Philippe Carme ; Ed. Callicéphale
de Andréa Léonelli et Philippe Carme ; Ed. Callicéphale
Une jolie petite souris découvre un matin à son réveil les joies et délices de l’hiver. D’abord, il y a eu la neige et puis les lutins qui se sont installés en ville, et aussi les vitrines de la boulangerie qui se sont ornées de couleurs. Il se prépare quelque chose… sûrement quelque chose de magique !
Noël c'est aussi le temps des cadeaux que l'on se fait les uns aux autres, et nous avons lu un album pour illustrer ce partage :
Ed. Hatier - 2014
C'est la veille de Noël, Balthazar veut offrir un cadeau à son ami Pépin, mais il n'a pas d'argent. Monsieur Merlin et son magasin enchanté vont l'aider : il y échange sa collection de billes contre un bonhomme de bois qui fera merveille sur le train de Pépin. Pépin de son côté y échange son train de bois contre une belle boîte laquée qui sera superbe pour la collection de billes de Balthazar....
L'inquiétude des enfants se lisait dans les regards, mais rassurez-vous l'histoire se termine bien. L'attention était à son comble et, tout à notre public, nous avons rajouté à la dernière minute un petit conte qui n'était pas prévu au programme :
Le Père Noël est vraiment étourdi, il a oublié sa boîte à outils et voilà que son traîneau est cassé ! Il s'arrête chez Tacotin pour lui emprunter son marteau, mais il a oublié de lui apporter son cadeau ! Au milieu de la nuit, Père Noël est revenu : il avait oublié de rendre ses outils à Tacotin, et en plus il a oublié ses lunettes et il ne sait pas pour qui est son dernier cadeau. C'est un traîneau pour Tacotin, mais il a oublié les rennes ! Qu'à cela ne tienne, un des siens fera l'affaire et le Père Noël est reparti. Il reste un bonnet rouge dans la neige... Quel étourdi ce Père Noël !
Notre dernière histoire a été contée. Elle nous vient du pays du Père Noël et l'on y apprend comment la ville, qui
fut la capitale de la Finlande jusqu’en 1812, fut baptisée Abo.
Abo,
le lutin du chaudron
Dans
la cuisine du château, par trois fois le lutin a jailli de l'âtre et demandé au maître queux un peu de viande sur une pointe de couteau, une fourchetée de légumes
pour sa femme alitée, une cuillerée de brouet pour son enfant qui se meurt… Par trois fois le chaudron s'est vidé jusqu'à la dernière goutte et le souper a disparu avec le lutin, emporté par des jambes invisibles...
Le
châtelain met alors sa menace à exécution : le cuisinier sera renvoyé et il sera fouetté... Mais c’est sans compter avec le lutin, qui avait promis à son bienfaiteur qu’il lui viendrait en aide si le malheur venait à le frapper...
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