lundi 28 mars 2016

Lirenval 2016 : les jardins



La 16ème saison de Lirenval célébrait cette année Les Jardins

Alain BARATON, invité d'honneur du Salon de Chevreuse, sera présent lors de sa journée de clôture, le samedi 2 avril 2016.

Le programme complet de cette journée est à découvrir d’un clic ICI 

samedi 26 mars 2016

"Délires de livres" à Rambouillet

Du 1er avril au 22 mai 2016           
L'exposition Délires de livres présente les livres objets de 66 artistes venus des 4 coins du monde. Chaque oeuvre est un inédit, à découvrir au Pôle culturel La Lanterne de Rambouillet : détails et horaires ici.
               
Un reportage FR3 revient sur l'édition 2015 :       

vendredi 18 mars 2016

mercredi 16 mars 2016

Nos animations avant l'été


AVRIL

> Exposition jeunesse

Dimanche 3 avril à 15:00
Palette, le musée des couleurs
Salle du Conseil, Mairie de Saint Léger



Accueil des classes
   
Lundi 4 avril : classe de CP & CE1
Mardi 5 avril : classes de CE2, CM1 & CM2





> Heure du Conte

Mercredi 6 avril à 16:00
Salle du Conseil, Mairie de Saint Léger





> Cercle de lecture

Vendredi 8 avril à 20:00
La trahison
Bibliothèque de Saint-Léger-en-Yvelines 





MAI

> Heure du Conte

Mercredi 11 mai à 16:00
Salle du Conseil, Mairie de Saint Léger
> Cercle de lecture

Vendredi 13 mai à 20:00
Les utopies
Bibliothèque de Saint-Léger-en-Yvelines

  



JUIN


> Cercle de Lecture


Vendredi 3 juin à 20:00
L'Antiquité
Bibliothèque de Saint-Léger-en-Yvelines



> Pique-nique littéraire - animation conjointe par 9 bibliothèques

Samedi 5 juin juin de 12:00 à 17:00
Ferme de la Budinerie




> Heure du Conte

Mercredi 8 juin à 16:00
Salle du Conseil, Mairie de Saint Léger




dimanche 13 mars 2016

Essai réussi au Cercle de Lecture !

Si des réserves avaient été émises dans notre assemblée quant au choix du thème BD, tous étaient ravis de la découverte, et la soirée s'est prolongée plus que de coutume...
Vous vous êtes toujours demandé ce que peut bien chanter Lucky Luke quand, à la fin de chaque album, il part dans le soleil couchant vers d’autres aventures ? Nous avons la réponse ici. Pour la circonstance, un certain Pat Woods lui prête sa voix. Nous ne savons rien de lui. Dommage… Mais passons à la suite.

*Voyage aux îles de la Désolation, d’Emmanuel Lepage 
Ed. Futuropolis – 2011
            
En mars et avril 2010, Emmanuel Lepage a embarqué sur le navire ravitailleur Marion Dufresne pour un voyage de plusieurs semaines dans les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF). Jadis surnommé «îles de la Désolation», l’archipel des Kerguelen est le plus connu de ces confettis d’empire, égarés dans l’immensité de l’océan à des milliers de kilomètres de toute terre habitée. Sauvages, inhospitalières et mystérieuses, ces lointaines possessions battues par les tempêtes ne comptent pour humains que des scientifiques de toutes disciplines, qui y passent parfois plusieurs mois, et quelques militaires ou contractuels chargés d’en faire fonctionner les bases. Mais en fait de désolation, c’est plutôt à un émerveillement permanent que nous sommes conviés. Ce livre est un carnet de bord alliant l’intimité du noir et blanc à la flamboyance des couleurs, dans une alternance de vues rapprochées – qui témoignent des relations humaines tissées dans ce bout du monde – et de plans larges offrant aux paysages l’espace nécessaire pour nous éblouir.
            
Il faut vraiment être passionné pour passer six mois dans ces îles où la violence des vents empêche toute présence d’arbres ! Les illustrations font rêver. Paradoxalement, l’utilisation du dessin rend ce carnet de voyage plus réaliste et plus informatif que celle de la photographie ou de l’image télévisée. Une équipe d’Arte a aussi fait le voyage. Je serais curieuse de comparer son reportage à ce magnifique album – HL

Les petits riens, de Lewis Trondheim (7 tomes : La malédiction du parapluie, Le syndrome du prisonnier, Le bonheur inquiet, Mon ombre au loin, Le robinet musical, Deux ou trois mois d’éternité, Un arbre en furie
Ed. Delcourt, 2006 à 2015
             
Cette série particulièrement sympathique n’est rien d’autre qu’une sorte de journal intime narrant les pérégrinations quotidiennes d'un Lewis Trondheim – autoreprésenté sous la forme d’un étrange personnage à tête de perroquet – hypocondriaque, anxieux, philosophe, mais toujours plein d’un humour pince-sans rire. On est ici dans la chronique du «pas grand-chose», de l’événement infime et dérisoire qui, finalement, constitue le tissu de notre vie à tous. Le regard que porte Trondheim sur ses semblables est d’autant plus attachant qu’il n’est jamais arrogant, car il se considère lui-même comme un acteur du ridicule qu’il sait décrire avec tendresse et poésie. 
             
Lewis Trondheim (français comme son nom ne l’indique pas) a obtenu en 2006 le grand prix du festival de la bande dessinée d’Angoulême pour l’ensemble de son œuvre, ce qui me paraît amplement mérité. J’ai dévoré avec délice la totalité de cette chronique drôlatique, qui a pour mérite non seulement de nous faire rire, mais aussi d’être graphiquement très belle et pleine d’originalité – SV

*Un océan d’amour, de Wilfrid Lupano et Grégory Panaccione 
Ed. Delcourt-Mirages, 2014 - (Prix BD Fnac 2015)
                     
Chaque matin, Monsieur part pêcher au large des côtes bretonnes. Mais ce jour-là, c’est lui qui est pêché par un effrayant navire-usine. Pendant ce temps, Madame attend. Sourde aux complaintes des bigoudènes, convaincue que son homme est en vie, elle part à sa recherche. C’est le début d’un périlleux chassé-croisé, sur un océan dans tous ses états. Cette histoire muette, mais avec moult mouettes, joue avec jubilation des ingrédients incontournables du folklore breton (jamais Madame n’abandonnera sa coiffe, même dans les plus ébouriffantes des épreuves). Sur plus de 200 pages, l’histoire revient à son point de départ sans le moindre dialogue, ce qui est une belle preuve de savoir-faire.
       
J’ai beaucoup aimé l’absence totale de «bulles» et cette manière de raconter une histoire en ne comptant que sur l’illustration. C’est plein d’une poésie un peu loufoque, par exemple dans le parti pris de ne représenter le poisson que sous forme de boîtes de conserve, même en mer ! Tout cela donne un récit charmant et très frais – M-CH

*Le sursis, de Jean-Pierre Gibrat (2 tomes)
Ed. Dupuis/Aire libre, 1997-1999
             
Dans la petite ville de Cambeyrac, en Aveyron, la guerre perturbe peu les habitants jusqu'à l'ordre de mobilisation générale et l'apparition de patrouilles allemandes. Julien Sarlat, appelé pour le Service du travail obligatoire, déserte et se cache dans le vieux pigeonnier du village avec l’aide de sa tante. Le train dans lequel il devait se trouver ayant été la cible d'une attaque, il est considéré comme mort. Du pigeonnier, il assiste à son propre enterrement et devient le témoin privilégié de la vie des villageois, partagés entre résistance et sympathie pour l'occupant. Il en profite également pour observer la jolie Cécile, dont la robe rouge illumine ses journées par ailleurs bien monotones.
               
Malgré la noirceur du thème, c’est un récit qui sait aussi être très gai. L’utilisation de toute la palette des couleurs est très judicieuse, car elle montre qu’en dépit d’un contexte on ne peut plus périlleux, la «vraie vie» continue quoi qu’il arrive. L’histoire fourmille d’anecdotes lui donnant beaucoup de réalisme. C’est très humain, et j’ai beaucoup aimé.  – DM


*Pablo, de Julie Birmant ; ill. Clément Oubrerie (T1. Max
Jacob,
 T2. Guillaume Apollinaire, T3. Matisse, T4. Picasso)
Ed. Dargaud – 2012 à 2014
             
Quatre tomes, sur les débuts du peintre à Montmartre, de 1900 et 1910, et qui s’achèvent avec une toile emblématique : « Les Demoiselles d’Avignon », première toile cubiste du peintre.
Pablo a 19 ans lorsqu’il arrive à Paris, ne parlant pas français. L’exposition universelle bat son plein, Paris vibre et bouillonne. La narratrice n’est autre que Fernande Olivier, la muse et la compagne des sept premières années : vie de bohème, vie intime, cartomancie, soirées poésies, fumeries d’opium, boxe, tout est décrit par le menu… Elle est le fil conducteur du récit, et l’auteure nous fait mesurer l’impact et le rôle fondamental de cette femme dans le développement du peintre.
Chaque album est centré sur un proche, qui a marqué Pablo de son empreinte : le poète Max Jacob, amoureux fou du Catalan ; Guillaume Apollinaire et Gertrude Stein, marchande d’art ; Matisse, qui se fait appeler Cher Maître…, et pour finir Braque, à l’origine du cubisme. Picasso n’eut de cesse de vouloir se démarquer. Il y parvient et s’impose dans le dernier tome de la série, à la veille de 1914.
A peine terminé, on se prend à vouloir recommencer le voyage. La série dépeint et fait vivre des lieux, des personnages, un univers, une époque ; la richesse documentaire et la psychologie des personnages secondaires en sont une dimension essentielle. Clément Oubrerie nous offre de véritables tableaux et des mises en page spectaculaires, à commencer par l’arrivée de Pablo sous la porte monumentale de l’exposition universelle. Superbe !!!- GA



*Les vieux fourneaux, de Wilfrid Lupano ; ill. Paul Cauuet (T1. Ceux qui restent, T2. Bonny and Pierrot, T3. Celui qui part)
Ed. Dargaud – 2014-2015
              
Bien qu’ils frisent les 80 automnes, Pierrot, Antoine et Mimile sont restés des galopins adeptes du parler cru et du politiquement (très) incorrect. En Don Quichotte version anarchiste, Pierrot mène sa vie  à 100 à l’heure, au sens propre comme au sens figuré.  Antoine est mû par deux passions : la haine de l’injustice sociale et le souvenir de sa chère Lucette, dont les funérailles ouvrent la série. Quant au débonnaire Mimile, c’est un ex-forban tatoué de pied en cap. Vieux, ces trois-là ? Allons donc ! Bouillant de commettre un crime passionnel rétroactif, Antoine se lance dans un road-movie haletant (Tome 1) avant de se reconvertir dans l’attentat gériatrico-écologiste, tandis que Pierrot est tourneboulé par la quête d’une femme-pirate disparue depuis 1963 et mystérieusement ressuscitée (Tome 2). Et enfin, nous connaîtrons la principale aventure vécue jadis par Mimile, et surtout la raison qui, en 1955, l’envoya bourlinguer des Philippines à la Tasmanie (Tome 3).
       
Je reconnais ne pas raffoler des BD, mais celle-ci a de quoi dérider les plus réfractaires, tant ces vieux messieurs si peu tranquilles nous font constamment osciller entre hilarité et émotion. Rarement châtiés, leurs dialogues recèlent quelques pépites à la Michel Audiard. Exemple : «J’ai déjà eu honte dans ma vie, comme ça, en amateur. Mais depuis deux jours, j’ai vraiment l’impression d’être passé professionnel» (Pierrot, Tome 3, p. 61). Cela vaut tous les commentaires – SW


*Je, François Villon, de Luigi Critone, d’après le roman de Jean Teulé
(T1. Mais où sont les neiges d’antan, T2. Bienvenue chez les ignobles,
T3 à sortir)     

Ed. Delcourt – 2011-2014
             
Villon est peut-être né le jour de la mort de Jeanne d'Arc. On a pendu son père et supplicié sa mère. Il a appris le grec et le latin à l'université de Paris. Il a joui, menti, volé dès le plus jeune âge. Il a fréquenté miséreux et nantis, étudiants, curés, prostituées, assassins, poètes et rois. Aucun sentiment humain ne lui était étranger. Des plus sublimes aux plus atroces, il a commis sous la plume de Teulé tous les actes qu'un homme peut commettre. Il a échappé de peu au gibet de Montfaucon et, condamné au bannissement, a disparu un matin sur la route d'Orléans. Il a donné au monde des poèmes puissants et mystérieux, et ouvert cette voie somptueuse qu'emprunteront à sa suite tous les autres poètes : l'absolue liberté. Mais attention : il s’agit bien ici d’un roman, et non d’une biographie rigoureuse.
             
Fidèle au roman de Jean Teulé, la BD en atténue aussi la violence barbare, surtout dans le tome 2. J’ai beaucoup aimé la qualité du dessin et de la couleur, que Luigi Critone a adaptés au récit avec justesse et sensibilité, ce qui en fait la valeur principale. Cela dit, et malgré les nombreuses citations du poète, on retrouve rarement le jaillissement instinctif et la fraîcheur qui font le charme des œuvres de Villon – NM
              
La BD et surtout le roman ont le grand mérite d’éclairer les vers de «maître François», rarement compréhensibles de nos jours, et la brutalité de leur contexte. Bravo. Mais fallait-il pousser la fiction à ce niveau de monstruosité ? Les rares bribes dont disposent les historiens ébauchent de Villon un portrait certes peu recommandable, mais dépourvu des principales abominations que lui prête Teulé. Ces excès nuisent à la crédibilité du propos. Je n’en attends pas moins avec intérêt le tome 3, où l’on verra le poète prendre conscience de la gravité de ses actes – SW


Silence , de Didier Comès 
Ed. Casterman, 1980 (version originale en noir et blanc) et 2001 (version colorisée en deux tomes)
             
L'action se situe à Beausonge, un petit village imaginaire des Ardennes belges. « Silence », un jeune homme muet et simple d'esprit, est l'homme à tout faire de l'odieux et brutal Abel Mauvy, riche agriculteur très influent dans le village. Il pense comme il parlerait et comme il écrit, avec des fautes d'orthographe. Silence ignore la haine et, malgré les mauvais traitements que lui inflige son maître, garde l'esprit et le cœur purs. Mais Beausonge, qui cache bien des secrets, deviendra pour Silence à la fois le lieu de son initiation et de sa perte. Mis au courant par celle qu'on appelle ''La Sorcière'' de sa véritable histoire, Silence l'innocent traversera les épreuves sans céder à la haine et sera vengé sans se salir.

La belette, de Didier Comès 
Ed. Casterman, 1981
    
Deux citadins, Gérald et Anne, viennent de s’installer à Amercoeur, un village des Ardennes belges, en compagnie de leur fils Pierre, un adolescent autiste. Les premiers contacts avec les habitants –dont une femme étrange toute de noir vêtue, surnommée «la Belette» sont difficiles et parfois houleux. Mais la tension s’avive lorsque Gérald, réalisateur de télévision très condescendant vis-à-vis des «superstitions» locales, décide de réaliser un documentaire sur les anciens rites sorciers toujours vivaces en milieu rural. Sur fond de non-dits et de vieilles haines toujours à vif, les événements étranges se multiplient. Et la nouvelle grossesse d’Anne devient un enjeu dans les affrontements invisibles qui secouent ce coin de campagne.

Le parallèle est évident entre ces deux chefs-d’œuvre de la bande dessinée et la douloureuse histoire personnelle de Comès. Né en 1942 près de Verviers et décédé en 2013, il doit aux circonstances de l’époque son prénom de Dieter, francisé en Didier à la Libération. Le déchirement dû à ses deux cultures (allemande par son père et francophone par sa mère) saute aux yeux dans l’univers sombre et souvent fantastique de ses œuvres. De surcroît gaucher contrarié, ce qui n’arrange rien, il ne s’est jamais senti à l’aise dans le monde où il vivait. Voilà des livres que je fréquente depuis longtemps. Ils ne me font plus peur, mais j’ai toujours autant de mal à les quitter – MM   


*Les titres précédés d’un astérisque sont disponibles à la bibliothèque.
Le prochain Cercle de Lecture se réunira le vendredi 8 avril à 20h00
avec pour thème : "la trahison"



jeudi 10 mars 2016

Les animaux invités à l'Heure du Conte

De la petite taupe qui voulait savoir qui lui avait fait sur la tête
d'après un album signé Werner Holzwart, illustré par Wolf Erlbruch
                    
Avec ce grand classique de la littérature jeunesse, le succès était assuré :              
Comme chaque soir, la petite taupe sort de terre pour voir si le soleil a disparu. C'est alors qu'on ose lui faire sur la tête ! C'est rond et marron, aussi long qu'une saucisse. Mais qui a bien pu faire ça ?
Tous les enfants connaissaient l'histoire, mais le tapis en 3D les a surpris, et les excréments des animaux étaient si bien représentés que ce n’était que fous rires tout du long.


Un album sans texte a suivi, sur une bande son soigneusement choisie par les conteuses...
Grand blanc, d’Antoine Guillopé
Ed. Casterman - 2009

C'est une course poursuite en eau profonde : un banc de poissons intéresse un phoque, qui est à son tour convoité par un orque, qui finira par croiser un requin blanc - un sacré ballet où chaque être devient lui-même la proie d’un prédateur plus grand que lui.    
Anne et Dorothée en avaient minuté la lecture pour coller à une bande son extraite du film « Les dents de la mer ». Les enfants retenaient leur souffle, et sur la dernière note, lorsque l’orque a échappé au requin,… un « Cool ! » retentissant s'est élevé du public.
                            
Et avant de se séparer, une petite dernière :
La petite grenouille qui avait mal aux oreilles, de Voutch
Ed. Circonflexe – 2009

Houyouyoue ! La petite grenouille vit un vrai calvaire : elle souffre des oreilles, et ne trouve aucun médecin-spécialiste-hyperspécialiste-et j’en passe, capable de la soulager. Elle poursuit son chemin de croix, et tout va de mal en pis. Heureusement, papy Roger, avec un bon sens que l’on n’attendait plus, trouve la source du mal...
Le tout est servi avec l’humour pince-sans-rire de Voutch, qui n’oublie pas de nous servir une petite dose de tendresse…
Le vocabulaire un peu compliqué a retenu toute l’attention des enfants !!!  Même ceux qui disaient connaître l'histoire ont bien rigolé de la chute inattendue. 

La bonne odeur de gaufres préparées par la Garderie nous chatouillait les papilles depuis un moment. L'heure était venue d'y goûter...

mercredi 9 mars 2016

Le Salon du Livre change de nom !


...et pour la première fois,  Hors les Murs 
une programmation culturelle entièrement gratuite : 
Livre en Seine
le weekend des 12 et 13 mars 
Tout un week-end offert aux jeunes (de 3 à 103 ans) sur les Berges de la Seine. Une promenade sur 600 mètres, du pont de la Concorde à la passerelle Léopold-Sédar-Senghor, d'expos originales en joyeuses animations...