jeudi 21 mars 2013

Des contes africains pour clore notre hiver

Ce mercredi, nous nous sommes réchauffés aux contes africains. Noémie, notre jeune lectrice, avait saisi l'occasion pour s'essayer au kamishibaï.
Une introduction sur musique africaine pré-enregistrée, et quelques notes de guitare de Noémie entre chaque conte... 

Les trois Zouloulais, de Florence Jenner-Metz,
ill. Stephane Hentich-Viney
Ed. Callicéphale
Lorsque Zoré, le sorcier de la tribu des Zouloulais décide de partir regagner ses pouvoirs auprès de ses ancêtres, il doit trouver quelqu'un capable de protéger le village durant son absence. Trois enfants sont chargés de veiller sur les objets magiques qui protègent le village, mais ils oublient bien vite leur devoirs…

Le conte conté a pris le relais, inspiré d'un conte de l'Afrique de l'Ouest, fort joliment illustré dans le livre qui suit : 
Pourquoi le moustique bourdonne à nos oreilles, de Verna Aardema
Ed. La Farandole - 1993
Le moustique a dit une grosse bêtise et l'iguane irrité s'est bouché les oreilles. Ce dernier ne répond donc pas au python qui le croit fâché et il s'ensuit une série de méprises entre les animaux. Le résultat est que Mère Hibou ne veut plus réveiller le soleil.
Le Roi Lion démêlera toute l''histoire, et le moustique continue de bourdonner à nos oreilles pour savoir si on est toujours fâché après lui. Notre réponse est invariablement la même : Clac !... 

La séance a pris fin sur un conte lu :
L'oiseau de pluie, de Monique Bermont
Ed. Père Castor Flammarion - 1971
Dans le village, on n’a pas vu de pluie depuis des mois et plus rien ne pousse dans les champs. Banioum se met alors en quête de l'oiseau de pluie, qu'il finit par trouver et qu'il enferme dans une belle cage, au milieu du village. Pourtant l'oiseau ne chante pas et la pluie ne vient pas.
Banioum apprendra à ses dépens que l'on ne chante pas en captivité et qu'il lui faut relâcher l'oiseau...

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